Histoire de serre-tête

Mon court séjour parisien a commencé par la visite de la boutique Louboutin de la rue Saint Honoré. Je fus tout d'abord étonnée par la forte affluence dans cette mythique maison, un mercredi après midi, en pleine période de crise économique et de psychose de grippe.
Revenons-en au vif du sujet! Lors de cette visite expérimentale, je fus plus obsédée par le serre-tête d'une des vendeuses que par les célèbres semelles rouges!
Une fine armature en satin avec un petit noeud noir. Je n'ai pas osé lui demander d'où il venait: Lanvin, Missoni, Marni, ou tout bêtement H&M...
Dès lors je n'avais plus qu'une idée en tête: trouver mon serre-tête! Flairant une piste en direction du Bon Marché, je m'y suis précipitée! Et là, au rez-de-chaussée, petit paradis de l'accessoire capillaire: serre-tête, bandeau, plastique, velour, satin, avec plume, fourrure, chaîne... Romantique, hippie chic, rock, classique...
J'ai essayé, hésité mais le prix m'a aidée à trancher: 8 euros versus 58; je me suis dit que pour un accessoire que je ne mettrai peut-être que 48 heures à Paris, mieux valait opter pour l'économie.
Le mien est très fin, en satin avec une petite plume et un pompon noir.
J'adore et ne le quitte plus!

Commentaires

Anonyme a dit…
La personne avec qui tu étais, Adore les semelles rouges...

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